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Il y en avait pour tous les goûts à la 33ème Fête de la musique. Elle débuta vendredi au Jardin du couvent des observantins avec la chorale provençale Ouliéulo Canto. Samedi, ce fut à 17 heures déjà avec « Le piano fête la musique romantique » des classes du CNRR à la salle Jean Moulin. Place de l’Eglise (Victor Clément), on assista au concert de la Lyre Provençale d’Ollioules suivi du Jazz d’Alain Etienne.

Place Marius Trotobas, on pouvait s’essayer aux danses traditionnelles au son de l’ensemble « Vieux ch’val ». L’association « Tra Do Fork » avait amené ses danseurs qui initiaient les volontaires. « C’est un moment d’échanges », expliqua la directrice du cabinet du maire Catherine Buisson.

Place Jean Jaurès, deux spectacles de danse : de la country du Groupe Free Dance, suivi du rock de Human Dream à 22 heures. Léa, onze ans, à l’école Ramirez Dance d’Ollioules y participait pour la première fois et était ravie.

La scène underground d’Ollioules était à trouver place du Souvenir français avec quatre groupes rock tendance punk proposés par Musique actuelle ollioulaise : RSK, Dog bless you, Among dead dogs et The sexual bobby and his heary bears.

Si près, si loin

Même lors de la Fête de la musique, Ollioules cultive son côté calme. Certes, les terrasses étaient bondées, mais « ce n’est pas Sanary, c’est gentil », confirma Catherine Buisson. Le patron du Bar de la mairie, lui, pliait bagage à 20 heures : « On a bien travaillé, maintenant on va profiter ! »