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Dès 7h30 du matin, une quarantaine de chasseurs, trois traqueurs (christian Bénet, Franck Tomassin et André Ray) et une quinzaine de chiens se sont rassemblés au point de ralliement de la chapelle de Pépiole pour participer à cette première battue de l’hiver. Celle-ci s’est organisée sur une enceinte délimitée par le chemin de Pépiole, le chemin de Tante Victoire, le chemin de Terron et la Reppe : « nous venons à la demande des riverains qui subissent chaque année des dégâts dans leur propriété ; nous pensons qu’il n’y a pas plus de 5 à 6 sangliers dans le secteur » a expliqué le Vice Président Christian Don.

La sécurité avant tout

Avant de dévoiler le plan de battue et de constituer les équipes, Monsieur Don et Monsieur Berjot, les deux responsables de cette chasse collective ont rappelé les règles à respecter pour que la sécurité des tireurs et des promeneurs soit optimale : « le port des gilets fluorescents de sécurité est obligatoire. Avant le signal de la battue, le fusil doit être désarmé vers le ciel ou la terre. Les chasseurs doivent se tenir « ventre au bois » c’est à dire placé du côté de l’enceinte de chasse et face à elle. Ils doivent respecter le champ de tir de 30 degrés et attendre le signal de fin de battue (4 coups de trompe) pour quitter leur poste ».
Des mesures de sécurité simples et efficaces dont certaines peuvent être adoptées par les promeneurs ou les cueilleurs de champignon : « désormais nous possédons tous des gilets fluorescents dans nos voitures. En période de chasse, les promeneurs peuvent les enfiler pour être plus visibles » a préconisé Monsieur Berjot.

Quelques jours avant le début de la battue, la société de chasse informe les promeneurs et les riverains en accrochant à plusieurs endroits ces pancartes