Le 29. juin 2014 à 22h47
Six Fours Animation Ambiance d’enfer à la Feria des Embiez
Courses camarguaises, musique, danse, spectacle... La fiesta a battu son plein dimanche aux Embiez.
Le taureau est rattrapé.
Pour une fois, il ne faisait pas trop chaud pour cette vingt-quatrième édition de la Feria des Embiez. Il a même plu de temps à autre. « C’est la première fois que nous avons mauvais temps », s’est désolé le Président du Comité des Fêtes des Embiez, Jean-Claude Roquelin. Mais, comme l’a dit Dominique Perron, président national des clubs taurins : « Cela fera de l’eau pour le Ricard ! » En effet, les quelques gouttes n'ont pas empêché les restaurants d'être bondés.
La journée a commencé avec le dépôt d’une gerbe de fleurs sur les tombes de Paul et Patrick Ricard. Sur le point culminant de l’île, face à la mer, Dominique Perron a rendu hommage à la simplicité de la sépulture du fondateur d’un empire. En effet, si Paul Ricard est à l’origine d’une entreprise « au sein de laquelle régnait la convivialité », ce passionné de tauromachie a également fondé l’Union des clubs taurins, qui rassemble 16 000 personnes.
Les taureaux de la Manade Lescot, à l’entrée d’Arles, ont ensuite été lâchés dans le centre, encadrés fermement par leurs Gardians. Quelques téméraires « attrapaïres » ont bien essayé de leur attraper la queue et les cornes, ce qui a permis à un taureau de s'échapper, vite rattrapé par les gardians.
Ce fut ensuite l’heure du repas avec de nombreux jeux. On y a chanté très fort au son de la fanfare, entre autres La Marseillaise en pensant au prochain match des Bleus. La journée s'est conclue par un grand spectacle équestre et taurin dans les arènes. « La première année, nous avons fait la Feria derrière des grilles, puis, quand on a vu que cela marchait, on a construit les Arènes Philippe Thiers », s'est souvenu Jean-Claude Roquelin. Cette année, les spectateurs ravis ont pu admirer une course camarguaise avec les razeteurs face à deux vaches de la manade Lescot, le carrousel des Amazones, l'abrivado en piste et le groupe comico-équestre Los Areneros.
En fin de journée, le soleil brillait à nouveau sur l’île pour illuminer la fin d'une autre Feria réussie.
La journée a commencé avec le dépôt d’une gerbe de fleurs sur les tombes de Paul et Patrick Ricard. Sur le point culminant de l’île, face à la mer, Dominique Perron a rendu hommage à la simplicité de la sépulture du fondateur d’un empire. En effet, si Paul Ricard est à l’origine d’une entreprise « au sein de laquelle régnait la convivialité », ce passionné de tauromachie a également fondé l’Union des clubs taurins, qui rassemble 16 000 personnes.
L’abrivado
Les taureaux de la Manade Lescot, à l’entrée d’Arles, ont ensuite été lâchés dans le centre, encadrés fermement par leurs Gardians. Quelques téméraires « attrapaïres » ont bien essayé de leur attraper la queue et les cornes, ce qui a permis à un taureau de s'échapper, vite rattrapé par les gardians.
Ce fut ensuite l’heure du repas avec de nombreux jeux. On y a chanté très fort au son de la fanfare, entre autres La Marseillaise en pensant au prochain match des Bleus. La journée s'est conclue par un grand spectacle équestre et taurin dans les arènes. « La première année, nous avons fait la Feria derrière des grilles, puis, quand on a vu que cela marchait, on a construit les Arènes Philippe Thiers », s'est souvenu Jean-Claude Roquelin. Cette année, les spectateurs ravis ont pu admirer une course camarguaise avec les razeteurs face à deux vaches de la manade Lescot, le carrousel des Amazones, l'abrivado en piste et le groupe comico-équestre Los Areneros.
En fin de journée, le soleil brillait à nouveau sur l’île pour illuminer la fin d'une autre Feria réussie.
MK, le 29 juin 2014
Plus d'infos:
Sfn Media Sarl, 421 avenue des Charmettes, 83140 LE BRUSC.
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