Le 1. octobre 2013 à 17h23
Sanary Vie de la cité Allo Police ?
Gendarmerie, Police Municipale, Police nationale ? L’amalgame est facile à faire. Pourtant, ce sont bien des corps de métier différents avec des fonctions différentes. Nous nous sommes intéressés à la Police Municipale, la plus proche de nous.
Thierry Febbrari, chef de la Police Municipale de Sanary
A Sanary, le responsable de la Police Municipale est Thierry Febbrari. Il dirige une équipe de 14 personnes, 11 policiers, 2 agents de surveillance et un agent administratif. Le rôle exact de la Police Municipale est dicté par le Maire, qui décide des priorités. Cette police de proximité est sous sa responsabilité directe, même si elle travaille en étroite collaboration avec la police Nationale, ce qui peut rendre floues les limites d’action de chacun.
Comme nous l’avons, dit, la Police municipale reçoit ses objectifs directement du Maire, elle n'est pas pour autant son bras armé. A Sanary, les priorités sont le bruit, la propreté, le stationnement et la prévention/sécurité avec la sortie des écoles ou les sécurisations d’accidents.
La Police Municipale ne peut pas prendre de plaintes. Par contre, elle réagit et intervient suite aux appels téléphoniques et aux courriers qui lui sont envoyés. Ces plaintes concernent le plus souvent des nuisances sonores consécutives à des aboiements de chiens, des comportements bruyants, des problèmes de chantiers. Elle intervient fréquemment pour des rappels à l’ordre lorsque par exemple, un voisin indélicat va utiliser sa tronçonneuse ou sa débroussailleuse un dimanche matin à 8h00, alors que le voisinage aimerait bien profiter du repos dominical…
Elle a un rôle important de médiation entre voisins qui ont un différent. Elle constate et vérifie l’existence de la nuisance, et explique les droits et les devoirs de chacun. La plupart du temps, elle ne fait qu’un rappel à l’ordre. Elle peut aussi établir un rapport qui pourra servir en cas de suites, comme une plainte déposée à la Police Nationale.
En fait la Police municipale n’est pas un organe répressif, c’est une police de proximité qui veille sur nous. Elle tourne pendant la journée et établit la surveillance de la zone piétonne, par exemple. Elle est là pour rassurer la population et gérer les litiges du quotidien. « La petite délinquance est rare à Sanary. Les gens nous voient et ils se rendent compte qu’on s’occupe d’eux » conclue Thierry Febbrari
Les quatre priorités de Sanary
Comme nous l’avons, dit, la Police municipale reçoit ses objectifs directement du Maire, elle n'est pas pour autant son bras armé. A Sanary, les priorités sont le bruit, la propreté, le stationnement et la prévention/sécurité avec la sortie des écoles ou les sécurisations d’accidents.
Des médiateurs avant tout
La Police Municipale ne peut pas prendre de plaintes. Par contre, elle réagit et intervient suite aux appels téléphoniques et aux courriers qui lui sont envoyés. Ces plaintes concernent le plus souvent des nuisances sonores consécutives à des aboiements de chiens, des comportements bruyants, des problèmes de chantiers. Elle intervient fréquemment pour des rappels à l’ordre lorsque par exemple, un voisin indélicat va utiliser sa tronçonneuse ou sa débroussailleuse un dimanche matin à 8h00, alors que le voisinage aimerait bien profiter du repos dominical…
Elle a un rôle important de médiation entre voisins qui ont un différent. Elle constate et vérifie l’existence de la nuisance, et explique les droits et les devoirs de chacun. La plupart du temps, elle ne fait qu’un rappel à l’ordre. Elle peut aussi établir un rapport qui pourra servir en cas de suites, comme une plainte déposée à la Police Nationale.
En fait la Police municipale n’est pas un organe répressif, c’est une police de proximité qui veille sur nous. Elle tourne pendant la journée et établit la surveillance de la zone piétonne, par exemple. Elle est là pour rassurer la population et gérer les litiges du quotidien. « La petite délinquance est rare à Sanary. Les gens nous voient et ils se rendent compte qu’on s’occupe d’eux » conclue Thierry Febbrari
PH, le 01 octobre 2013
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