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Le 14. février 2014

Sanary Politique 5ème et dernier Atelier Citoyen de Jean-Pierre Meyer

Jean-Pierre Meyer, candidat de la Gauche Rassemblée, faisait ce jeudi soir son 5ème et dernier Atelier Citoyen sur les thèmes de la tranquillité publique et de l’éthique municipale : hier, aujourd’hui et demain. Cela s’est déroulé dans l’auditorium de la médiathèque de Sanary.

Pour son dernier atelier, Jean-Pierre Meyer était accompagné de Jacques Bertolucci du PS. La réunion a débuté avec un peu de retard et l’assistance était clairsemée. Avant de laisser la parole à son invité, Jean-Pierre Meyer a d’abord entamé son premier sujet sur la tranquillité publique, par une affirmation : « Nous nous refusons d’entrer dans une éthique sécuritaire, bien que le droit à la sécurité soit un droit essentiel. Non, Sanary n’est pas devenue Chicago ».
Selon le candidat de la Gauche, certains postulants à la mairie conditionnent la population en voulant mettre des policiers à tous les coins de rue, suppléés par des caméras : « On essaie de faire peur à la population où alors on veut leur faire partager une certaine idéologie… » dira-t-il, avant d'ajouter : « Il faut valorise la Police Municipale et travailler plus efficacement à la voirie, pour éviter l’encombrement des trottoirs par des motos, des arbres…Notre démarche est de favoriser les communications avec les administrés, comme nous l’avons déjà proposé, avec les réunions de quartiers ».

La liste est bouclée


Jean-Pierre Meyer affirma alors que sa liste était bouclée. Selon le candidat, cela n’aurait pas été facile: « Non pas parce que les gens ne sont pas intéressés, mais par crainte. Sans doute avaient-ils peur que leur engagement ne leur nuise ? C’est la première fois que je ressens ça ! Il y a 6 ans, c’était différent. Il y a là un souci qu’il ne faut pas négliger. Nous avons eu raison d’affirmer que 12 ans ça suffit. Deux mandats sont bien assez pour éviter toute dérive ».
Jean-Pierre Meyer insista alors sur la nécessité de faire évoluer la législation afin qu’un élu, de quelque parti soit-il soit frappé inéligibilité, en cas d’action répréhensible par la loi. Pour illustrer son débat sur l’éthique municipale, il donna alors la parole à Jacques Bertolucci qui détailla toutes "les affaires" dans lesquelles il considérait que Ferdinand Bernhard était impliqué.

PH, le 14 février 2014