Le 10. juin 2011 à 18h01
Le Brusc Environnement L'île de Embiez passée au peigne fin
Près de 80 volontaires ont débarassé l'île des Embiez de ses plus vilains atours : sacs plastiques, bombes aérosols, bouteilles en tous genres mais aussi vieux pneus voire flotteur de planche à voile.
Les volontaires posent à la fin de l'opération "île propre".
La moisson a été bonne ce vendredi matin sur les Embiez! Plusieurs tonnes de déchets les plus divers ont été ramassés sur les plages, dans les garrigues, le long des sentiers par une armée de volontaires, près de 80 chasseurs d'objets les plus divers et les plus détestables dans ce site merveilleux.
La chasse aux intrus s'organisa dès l'arrivée du bateau de 8h30 amenant du continent les volontaires ameutés par les communiqués de presse, renforcés par les plaisanciers dû port. Gants et sacs de récupération distribués, tout le monde embarqua sur le petit train de Christian pour gagner les principales zones d'intervention déterminées par Patrick Longueville, le maître de port.
Et trois heures plus tard un énorme tas de détritus avait été constitué à proximité de la capitainerie, preuve de l'efficacité de la mêthode, du zèle des volontaires et, il faut le dire, du manque de civisme de certains visiteurs de l'île ou de navigateurs. Vint s'y ajouter la récolte dans le port faite par un plongeur professionnel qui, en moins de deux heures, remplit à ras bord une embarcation d'objets divers récoltés au fond dont... un vélo d'enfant.
Au total un inventaire à la Prévert en majorité constitué de sacs plastiques, emballages en tous genres et objets courants mais d'où émergeaient quelques monstres : un flotteur de planche à voile ou un pneu : "c'est moi qui ai trouvé ce Dunlop qui devait équiper une Austin mini" racontait ce volontaire, jeune retraité de ... Michelin.
Après la photo de famille, tout le monde prit la direction de la pinéde à l'ombre de laquelle furent servis un apéritif et un repas reconstituants à tous ces volontaires à qui François Xavier Diaz, directeur des Îles Paul Ricard, Patricia Ricard, directrice de l'institut de recherche, Patrick Longueville, directeur du port, et Didier Quennepoix, président du Yacht-club, dirent leur reconnaissance pour ce travail de fourmi accompli dans la bonne humeur.
La chasse aux intrus s'organisa dès l'arrivée du bateau de 8h30 amenant du continent les volontaires ameutés par les communiqués de presse, renforcés par les plaisanciers dû port. Gants et sacs de récupération distribués, tout le monde embarqua sur le petit train de Christian pour gagner les principales zones d'intervention déterminées par Patrick Longueville, le maître de port.
Et trois heures plus tard un énorme tas de détritus avait été constitué à proximité de la capitainerie, preuve de l'efficacité de la mêthode, du zèle des volontaires et, il faut le dire, du manque de civisme de certains visiteurs de l'île ou de navigateurs. Vint s'y ajouter la récolte dans le port faite par un plongeur professionnel qui, en moins de deux heures, remplit à ras bord une embarcation d'objets divers récoltés au fond dont... un vélo d'enfant.
Au total un inventaire à la Prévert en majorité constitué de sacs plastiques, emballages en tous genres et objets courants mais d'où émergeaient quelques monstres : un flotteur de planche à voile ou un pneu : "c'est moi qui ai trouvé ce Dunlop qui devait équiper une Austin mini" racontait ce volontaire, jeune retraité de ... Michelin.
Après la photo de famille, tout le monde prit la direction de la pinéde à l'ombre de laquelle furent servis un apéritif et un repas reconstituants à tous ces volontaires à qui François Xavier Diaz, directeur des Îles Paul Ricard, Patricia Ricard, directrice de l'institut de recherche, Patrick Longueville, directeur du port, et Didier Quennepoix, président du Yacht-club, dirent leur reconnaissance pour ce travail de fourmi accompli dans la bonne humeur.
, le 10 juin 2011
Sfn Media Sarl, 421 avenue des Charmettes, 83140 LE BRUSC.
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