Le 17. janvier 2012 à 16h38
Six Fours portrait Alexandre, vétéran de Body-Building
Alexandre Boumenir, vétéran de Body-Building n’était pas un passionné, loin de là. Cela faisait 30 ans qu’il côtoyait les salles de sports à la recherche d’un peu de bien-être mais sans goût pour la compétition.
Alexandre Boumenir s'entraine pour le Body show 2012
Alexandre ne prendra goût à la compétition qu’en 2010 après sa rencontre avec Jonathan, le coach du club « Extrem Fitness» de Six-Fours.
« J’ai découvert cette discipline à 19 ans. A l’époque j’habitais Marseille. Un voisin qui faisait de la musculation m’a demandé de l’aider même si je n’y connaissais rien. Mon sport c’était la boxe, et mon entraîneur me disait que je n’étais pas assez musclé pour réussir. J’ai alors commencé la musculation et j’y ai pris goût petit à petit». Alexandre ne courait pas les compétitions: il s’entraînait quelques semaines avant l’été juste pour se sentir bien dans son corps et dans sa tête, mais les coachs qui le croisaient avaient décelé en lui un fort potentiel musculaire. Son corps, il le travaillait en salle mais aussi au quotidien sur son lieu de travail, un travail très physique dans le bâtiment.
Lorsqu’il rencontre Jonathan il accroche, parce que ce jeune coach -lui-même compétiteur- sait l’accompagner, l’encourager et le motiver.
« Le plus difficile c’est de trouver un coatch qui sache bien conseiller en diététique et qui soit disponible à tout moment. Le régime est très dur à suivre parce qu’il est contraignant, monotone et ne procure aucun plaisir! Je dois manger toujours la même chose aux mêmes heures et lorsque je suis sur le point de craquer, ou lorsque je craque –ça nous arrive à tous- je sais que Jonathan sera là et qu’il ajustera mon régime pour réparer mon écart. Et puis je fais aussi 45 minutes de musculation par jour, ce qui me fait beaucoup de bien. Je me dis qu’il vaut mieux traîner dans une salle que dans un bar !»
Alexandre a trois mois devant lui pour se préparer pour la deuxième année consécutive au Body Show 2012, un concours national de Body-Building.
Trois mois de diète, de contraintes, d’abstinence et d’entraînement physique pour modeler son corps.
«Aujourd’hui c’est devenu un vrai challenge pour moi! Je veux rattraper le temps perdu et je me prépare à faire ce sacrifice pour atteindre le podium. L’an dernier je suis arrivé troisième ! Cette année j’espère faire mieux encore!»
Alexandre a 50 ans et ne compte pas s’arrêter là. D’ailleurs, tous ses collègues disent qu’il n’y a pas d’âge pour commencer, ni pour s’arrêter! La preuve : au championnat du monde 2011 il y avait un vétéran de 78 ans!
« J’ai découvert cette discipline à 19 ans. A l’époque j’habitais Marseille. Un voisin qui faisait de la musculation m’a demandé de l’aider même si je n’y connaissais rien. Mon sport c’était la boxe, et mon entraîneur me disait que je n’étais pas assez musclé pour réussir. J’ai alors commencé la musculation et j’y ai pris goût petit à petit». Alexandre ne courait pas les compétitions: il s’entraînait quelques semaines avant l’été juste pour se sentir bien dans son corps et dans sa tête, mais les coachs qui le croisaient avaient décelé en lui un fort potentiel musculaire. Son corps, il le travaillait en salle mais aussi au quotidien sur son lieu de travail, un travail très physique dans le bâtiment.
Lorsqu’il rencontre Jonathan il accroche, parce que ce jeune coach -lui-même compétiteur- sait l’accompagner, l’encourager et le motiver.
Il vaut mieux traîner dans une salle que dans un bar !
« Le plus difficile c’est de trouver un coatch qui sache bien conseiller en diététique et qui soit disponible à tout moment. Le régime est très dur à suivre parce qu’il est contraignant, monotone et ne procure aucun plaisir! Je dois manger toujours la même chose aux mêmes heures et lorsque je suis sur le point de craquer, ou lorsque je craque –ça nous arrive à tous- je sais que Jonathan sera là et qu’il ajustera mon régime pour réparer mon écart. Et puis je fais aussi 45 minutes de musculation par jour, ce qui me fait beaucoup de bien. Je me dis qu’il vaut mieux traîner dans une salle que dans un bar !»
Alexandre a trois mois devant lui pour se préparer pour la deuxième année consécutive au Body Show 2012, un concours national de Body-Building.
Trois mois de diète, de contraintes, d’abstinence et d’entraînement physique pour modeler son corps.
«Aujourd’hui c’est devenu un vrai challenge pour moi! Je veux rattraper le temps perdu et je me prépare à faire ce sacrifice pour atteindre le podium. L’an dernier je suis arrivé troisième ! Cette année j’espère faire mieux encore!»
Alexandre a 50 ans et ne compte pas s’arrêter là. D’ailleurs, tous ses collègues disent qu’il n’y a pas d’âge pour commencer, ni pour s’arrêter! La preuve : au championnat du monde 2011 il y avait un vétéran de 78 ans!
A.I, le 17 janvier 2012
Sfn Media Sarl, 421 avenue des Charmettes, 83140 LE BRUSC.
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