Le 6. décembre 2012 à 18h57
Toute entreprise qui a des salariés, cherche les bonnes solutions pour payer moins de charges salariales. Parmi elles, l’épargne salariale permet de distribuer des primes exonérées de charges et d’impôts. Dans une démonstration de plus d’une demi-heure, devant une vingtaine de chefs d’entreprise, le conférencier a expliqué comment mettre en place ce système bénéfique à tous salariés et employeurs.
On y apprend particulièrement que ce système est ouvert à toutes les entreprises ayant au moins un salarié sous contrat, que c’est l’entreprise qui définit son budget et qu’il est révisable chaque année.
L’Epargne salariale se décompose en deux parties, celle concernant les versements volontaires du salarié, et celle concernant les versements complémentaires de l’entreprise. Par rapport à un budget qu’elle se fixe en début d’année, celle-ci va pouvoir verser à son salarié jusqu’à trois fois la somme que lui-même aura décidé d’épargner.
Pour l’entreprise, il en coûtera le forfait social d’un montant de 20%, la csg/crds d’un montant de 8 % sur la partie abondée (rajoutée par l’entreprise), ainsi que des frais de mise en place et des frais de gestion, facturés par la banque.
Les sommes épargnées sont bloqués 5 ans, mais il existe de nombreux cas dérogatoires de déblocage tels que le mariage, la naissance d’un enfant, le divorce, l'invalidité de l’épargnant, de ses enfants ou de son conjoint, la cessation du contrat de travail, l’expiration des droits à l’assurance chômage, le surendettement de l’épargnant, la création d’une entreprise ou encore la création ou rénovation de la résidence principale.
Finalement, au-delà de l’aspect financier, le conférencier insistait sur l’aspect social de l’épargne salariale, sur le rendement bien supérieur à celui d’un salaire et sur la souplesse de ce système facilement mis en place. Il en a profité pour présenter brièvement la gamme de produits que propose le Crédit Mutuel qui va de placements très limités au niveau risque mais moins performants, aux placements très performants, mais évidemment plus risqués. Il a indiqué aussi que tous les outils de communication habituels sont mis à la disposition des salariés, par le Crédit Mutuel, pour suivre l’évolution de son épargne.
La réunion s’est terminée par le traditionnel apéritif où chacun a pu échanger ses points de vue et poser les dernières bonnes questions, mais encore une fois, tout le monde a appris quelque chose.
Les prochaines réunions prévues se dérouleront en début d’année avec, en janvier ‘la pénibilité au travail’ et en février ‘gérer son stress’, toujours animées par des intervenants de qualité.
Six Fours Eco-échos Le Business Club Six-Fournais informe sur l’épargne salariale
Comme il le fait régulièrement depuis 2 ans, le Business Club Six-Fournais organisait cette fois sa réunion auprès de chefs d’entreprise, sur le thème de l’épargne salariale.
La chasse aux charges
Toute entreprise qui a des salariés, cherche les bonnes solutions pour payer moins de charges salariales. Parmi elles, l’épargne salariale permet de distribuer des primes exonérées de charges et d’impôts. Dans une démonstration de plus d’une demi-heure, devant une vingtaine de chefs d’entreprise, le conférencier a expliqué comment mettre en place ce système bénéfique à tous salariés et employeurs.
On y apprend particulièrement que ce système est ouvert à toutes les entreprises ayant au moins un salarié sous contrat, que c’est l’entreprise qui définit son budget et qu’il est révisable chaque année.
Le salarié choisit, l’entreprise complète
L’Epargne salariale se décompose en deux parties, celle concernant les versements volontaires du salarié, et celle concernant les versements complémentaires de l’entreprise. Par rapport à un budget qu’elle se fixe en début d’année, celle-ci va pouvoir verser à son salarié jusqu’à trois fois la somme que lui-même aura décidé d’épargner.
Pour l’entreprise, il en coûtera le forfait social d’un montant de 20%, la csg/crds d’un montant de 8 % sur la partie abondée (rajoutée par l’entreprise), ainsi que des frais de mise en place et des frais de gestion, facturés par la banque.
Les sommes épargnées sont bloqués 5 ans, mais il existe de nombreux cas dérogatoires de déblocage tels que le mariage, la naissance d’un enfant, le divorce, l'invalidité de l’épargnant, de ses enfants ou de son conjoint, la cessation du contrat de travail, l’expiration des droits à l’assurance chômage, le surendettement de l’épargnant, la création d’une entreprise ou encore la création ou rénovation de la résidence principale.
La souplesse et le rendement en point de mire
Finalement, au-delà de l’aspect financier, le conférencier insistait sur l’aspect social de l’épargne salariale, sur le rendement bien supérieur à celui d’un salaire et sur la souplesse de ce système facilement mis en place. Il en a profité pour présenter brièvement la gamme de produits que propose le Crédit Mutuel qui va de placements très limités au niveau risque mais moins performants, aux placements très performants, mais évidemment plus risqués. Il a indiqué aussi que tous les outils de communication habituels sont mis à la disposition des salariés, par le Crédit Mutuel, pour suivre l’évolution de son épargne.
La réunion s’est terminée par le traditionnel apéritif où chacun a pu échanger ses points de vue et poser les dernières bonnes questions, mais encore une fois, tout le monde a appris quelque chose.
Les prochaines réunions prévues se dérouleront en début d’année avec, en janvier ‘la pénibilité au travail’ et en février ‘gérer son stress’, toujours animées par des intervenants de qualité.
HP, le 06 décembre 2012
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