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Le 7. février 2011 à 21h20

Sanary Société Des logements locatifs sociaux en construction

Lundi après-midi s'est déroulée la pose de la première pierre de la résidence Le clos Véronique qui accueillera courant 2012 quarante-deux logements locatifs sociaux.

Pose de la première pierre du Clos Véronique.

Pose de la première pierre du Clos Véronique.

Le Groupe Arcade a acquis le terrain dans le cadre d'un bail à construction pour une durée de 60 ans. Le groupe, par l'intermédiaire de sa filiale, la Société Française des Habitations Economiques (S.F.H.E) a construit et gère déjà sur la commune 44 logements locatifs sociaux à l'Eupalinos. Le clos Véronique comprendra des logements allant de 53,3 m2 à 80,62m2 avec terrasses, jardins en rez-de-chaussée et un sous sol de 42 garages. Un bel ensemble en perspective, livré normalement au second trimestre 2012. La résidence se situera impasse Véronique à proximité du chemin de la Buge.
Ferdinand Bernhard, Denis Lafon (directeur de la promotion d'Arcade pour le Sud de la France) et des élus ont ainsi posé symboliquement la première pierre de cet ensemble. Les prises de paroles se sont ensuite effectuées à la maison de retraite la Bastide du Baou: "cette opération s'effectue dans un contexte urbain de grande qualité et permettra d'accueillir de jeunes familles" dira Denis Lafon. L'architecte Frédéric Graziani précisait : "les espaces extérieurs seront agréables à vivre et à regarder pour ceux qui sont autour". Ferdinand Bernhard insista sur la qualité de ces logements sociaux et salua le travail de Michèle Juignet du service urbanisme: "nous n'avons pas mené une politique de construction intensive depuis 21 ans. Nous ne souhaitons pas avoir plus d'habitants mais une meilleur qualité de vie pour nos administrés car une commune qui s'agrandit trop vite s'appauvrit". Le maire expliqua la difficulté de se conformer au 20% de logements sociaux imposés par la loi: " Il nous en manque 1500, mais il ne s'agit pas d'être contre la construction de logements sociaux mais de logements tout court. Si nous nous conformions à la loi, cela sous-tendrait la nécessité de construire des écoles en plus, des gymnases, et tout cela a un coût". Il expliqua également à l'assistance l'intérêt de ces baux à construction, permettant d'encaisser dès le départ la totalité des loyers et récupérer plus tard et le terrain et la construction qui aura été effectuée aux frais de la société: "on prévoit le patrimoine des générations futures".

D.D, le 07 février 2011

Autres photos:

Ferdinand Bernhard et Denis Lafon. Ici l'architecte.
Ferdinand Bernhard et Denis Lafon.