Le 25. mai 2014 à 11h12
Ollioules Animations Sérénade alpine devant un public enthousiaste
En point d’orgue de son stage à Sanary, l’Ecole provençale de cors des Alpes a donné une brillante sérénade samedi matin à Ollioules devant un public nombreux et enthousiaste.
Pas moins de 25 cors des Alpes ont résonné samedi matin à Ollioules à l’initiative du service culturel de la ville et de la Lyre provençale. Il s’agissait en fait d’un concert organisé en clôture d’un séminaire que venaient d’effectuer au Centre Azur à Sanary une vingtaine d’élèves et leurs professeurs, tous originaires de Fribourg, en Suisse romande, sous la direction de Norbert Clément.
D’emblée, le public a été conquis par les sonorités de ces instruments que l’on entend plus habituellement dans les hautes vallées helvétiques que sur le parvis d’un sanctuaire, dût-il dater du XIème siècle comme c’est le cas de l’Eglise Saint-Laurent à Ollioules. Un public nombreux au premier rang duquel on notait la présence de Robert Bénéventi, maire d’Ollioules entouré de plusieurs élus du conseil municipal et de Dominique Righi, président du Comité des Fêtes.
C’est sous les voûtes séculaires de l’Eglise que trois professeurs de l’école provençale de cors des Alpes ont donné un premier et brillant aperçu des sonorités profondes et colorées de ces instruments difficiles à maîtriser et dont l’origine remonte à la nuit des temps, servant aux bergers et gardiens de troupeaux de communiquer entre eux à distance dans les hautes vallées alpines en Suisse, en Autriche…, le son étant renvoyé d’une montagne à l’autre.
Longs de 360 cm, conçus en trois parties qui s’emboîtent, ces cors sont fabriqués en épicéa et en rotin, dans deux tonalités, fa et fa dièse.
La suite de la sérénade s’est déroulée sur le parvis de l’Eglise devant un public qui a su apprécier à sa juste valeur le talent de tous ces exécutants, parmi lesquels des débutants, sachant, comme l’a souligné leur chef, Norbert Clément, qu’il faut au minimum trois ans pour savoir jouer correctement de cet instrument qui n’est pas seulement l’apanage des bergers suisses mais a aussi inspiré des compositeurs de génie comme Ludwig van Beethoven (symphonie Pastorale), Johannes Brahms (3ème symphonie), Rossini (Guillaume Tell), Franz Liszt (Album d’un voyageur)…
Au cours de ce concert, le public a pu entendre plusieurs morceaux puisés dans le répertoire traditionnel ainsi que des pièces nouvellement créées, tantôt insolites, tantôt fascinantes mais toujours envoûtantes. Une bien belle sérénade !
Des sonorités profondes et colorées
D’emblée, le public a été conquis par les sonorités de ces instruments que l’on entend plus habituellement dans les hautes vallées helvétiques que sur le parvis d’un sanctuaire, dût-il dater du XIème siècle comme c’est le cas de l’Eglise Saint-Laurent à Ollioules. Un public nombreux au premier rang duquel on notait la présence de Robert Bénéventi, maire d’Ollioules entouré de plusieurs élus du conseil municipal et de Dominique Righi, président du Comité des Fêtes.
C’est sous les voûtes séculaires de l’Eglise que trois professeurs de l’école provençale de cors des Alpes ont donné un premier et brillant aperçu des sonorités profondes et colorées de ces instruments difficiles à maîtriser et dont l’origine remonte à la nuit des temps, servant aux bergers et gardiens de troupeaux de communiquer entre eux à distance dans les hautes vallées alpines en Suisse, en Autriche…, le son étant renvoyé d’une montagne à l’autre.
Des instruments qui ont inspiré de grands compositeurs
Longs de 360 cm, conçus en trois parties qui s’emboîtent, ces cors sont fabriqués en épicéa et en rotin, dans deux tonalités, fa et fa dièse.
La suite de la sérénade s’est déroulée sur le parvis de l’Eglise devant un public qui a su apprécier à sa juste valeur le talent de tous ces exécutants, parmi lesquels des débutants, sachant, comme l’a souligné leur chef, Norbert Clément, qu’il faut au minimum trois ans pour savoir jouer correctement de cet instrument qui n’est pas seulement l’apanage des bergers suisses mais a aussi inspiré des compositeurs de génie comme Ludwig van Beethoven (symphonie Pastorale), Johannes Brahms (3ème symphonie), Rossini (Guillaume Tell), Franz Liszt (Album d’un voyageur)…
Au cours de ce concert, le public a pu entendre plusieurs morceaux puisés dans le répertoire traditionnel ainsi que des pièces nouvellement créées, tantôt insolites, tantôt fascinantes mais toujours envoûtantes. Une bien belle sérénade !
F.K, le 25 mai 2014
Sfn Media Sarl, 421 avenue des Charmettes, 83140 LE BRUSC.
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