Le 1. juillet 2016 à 11h56
La Seyne Environnement La société « First » reconnue mondialement en génie océanique
Hier après-midi la conseillère départementale Nathalie Bicais a invité à une visite de la filiale d’Océanide, « First ». L’entreprise est basée à la Seyne dans la zone portuaire de Brégaillon.
François Pétrie, directeur d'Océanide, lors de la visite guidée du site "First".
C’était hier la journée nationale du génie civil et du génie côtier. Pour cette occasion Nathalie Bicais, conseillère départementale, convie à la découverte du bassin de génie océanique (BGO) « First », filiale d’Océanide, dont elle est également la présidente. L’établissement public est créé en 1986 grâce à des fonds nationaux. Sa spécialité : l’étude de l’hydrodynamisme, de l’impact des structure sur la mer et inversement. Son directeur François Pétrie est le guide lors de cette visite.
« Océanide est spécialiste en génie côtier c'est-à-dire tout ce qui est port, digue et plage. Mais également en génie civil avec les infrastructures au large », explique le directeur. La société dispense ses conseils en expertise, contrôle les travaux réalisés et possède un bureau d’étude avec une vingtaine d’ingénieurs. « Nous faisons également de l’assistance technique afin de conseiller les clients sur l’aspect hydraulique avec des simulations », indique François Pétrie. Les ingénieurs réalisent des modélisations physiques en représentant la mer grâce à un bassin d’essai. Les phénomènes sont alors reproduits de façon réduite pour confirmer, optimiser ou infirmer les calculs du demandeur. Les principaux clients de « First » sont la Norvège, la Hollande, la Corée ou encore les Etats-Unis. Une renommée mondiale pour cette entreprise seynoise.
François Pétrie fait au public une démonstration de test d’une éolienne en milieu marin. « La simulation permet de créer des vagues, des pompes génèrent le courant de la mer et des ventilateurs recréent le vent », renseigne le directeur. Avec le bassin d’essai tout va plus vite et l’échelle est réduite au 40ème (toutes les dimensions sont divisées par 40, ndlr). « L’éolienne bouge grâce aux forces générées par les différents facteurs recréés. En fonction des résultats le client s’adapte sur le design de l’éolienne », exprime François Pétrie. Plus largement Océanide travaille sur trois points : l’énergie marine renouvelable, l’extraction de pétrole en mer et la recherche et développement. La société a donc un bel avenir devant elle.
Entreprise seynoise de renommée mondiale
« Océanide est spécialiste en génie côtier c'est-à-dire tout ce qui est port, digue et plage. Mais également en génie civil avec les infrastructures au large », explique le directeur. La société dispense ses conseils en expertise, contrôle les travaux réalisés et possède un bureau d’étude avec une vingtaine d’ingénieurs. « Nous faisons également de l’assistance technique afin de conseiller les clients sur l’aspect hydraulique avec des simulations », indique François Pétrie. Les ingénieurs réalisent des modélisations physiques en représentant la mer grâce à un bassin d’essai. Les phénomènes sont alors reproduits de façon réduite pour confirmer, optimiser ou infirmer les calculs du demandeur. Les principaux clients de « First » sont la Norvège, la Hollande, la Corée ou encore les Etats-Unis. Une renommée mondiale pour cette entreprise seynoise.
Une échelle réduite au 40ème
François Pétrie fait au public une démonstration de test d’une éolienne en milieu marin. « La simulation permet de créer des vagues, des pompes génèrent le courant de la mer et des ventilateurs recréent le vent », renseigne le directeur. Avec le bassin d’essai tout va plus vite et l’échelle est réduite au 40ème (toutes les dimensions sont divisées par 40, ndlr). « L’éolienne bouge grâce aux forces générées par les différents facteurs recréés. En fonction des résultats le client s’adapte sur le design de l’éolienne », exprime François Pétrie. Plus largement Océanide travaille sur trois points : l’énergie marine renouvelable, l’extraction de pétrole en mer et la recherche et développement. La société a donc un bel avenir devant elle.
, le 01 juillet 2016
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