Le 24. novembre 2017 à 21h27
Les palmiers de la ville
Le charançon rouge a fait trois nouvelles victimes parmi les palmiers municipaux. Sur le quai de Gaulle et sur le terre plein central, les équipes des espaces verts se sont attelés à l’étêtage et le tronçonnage de deux phœnix. Sur la plage centrale, un washingtonia a été abattu.
Selon l'avis d'un expert consulté au préalable pas le service environnement: " Ce palmier est mort, les charançons ont détruit, irrémédiablement, le cœur. Les racines des palmiers ne sont pas lignifiées et il est donc possible, voire probable, qu’elles se dégradent rapidement avec pour conséquence : l’effondrement. Un palmier mort n’est plus capable de contrôler l’activité ainsi que la progression des micro organismes telluriques qui s’attaquent aux tissus de sa partie hypogée qui assure son maintien.
De surcroît, compte tenu des vents sur ce site et du risque d’effondrement qui apparaît, laisser un individu mort, sur un espace fréquenté par des personnes en hypovigilance, expose inutilement la collectivité à un risque d’accident. "
D'autres spécimens du patrimoine végétal de la ville sont sous surveillance.