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Le 5 juillet 1962, quelques mois après le cessez le feu de la guerre d'Algérie, des pieds noirs furent kidnappés et assassinés à Oran. Un épisode moins connu, mais dont la trace demeure encore vive chez certains rapatriés. L'amicale des rapatriés, présidée par Christiane Giordano, a organisé une cérémonie jeudi soir en présence des élus Joseph Mulé, Alain Clément et Thierry Mas Saint-Guiral.
Une première gerbe au nom du conseil municipal a été déposée par Joseph Mulé (1er adjoint) et Christiane Giordano (conseillère municipale). Une autre, par Gérard Lopez et Claude Candes au nom de l'amicale. Une troisième, par Madame Martinez et Monsieur Tomas au nom des anciens du football club oranais. Après la cérémonie qui avait été avancée, le cortège s'est rendu à la messe.