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C'est un classique de l'association des jeunes sapeurs pompiers présidée par Yves Delzechi. Il s'agit d'un stage nature débutant le 21 avril et se finissant le 27 avril au massif du Gros Cerveau, à l'ouvrage de la Pointe. Les JSP sont coupés du monde, sans portable, et soumis à un rythme effrené d'activités, loin d'un centre de vacances. Plusieurs modules: stage de survie pour la section 4, nettoyage, tronçonnage, démonstration de largage de canadair, venue du Groupe d'intervention feux de forêt, visite des autorités départementales des sapeurs pompiers ainsi que du maire de Sanary, activités sportives et pédagogiques. De gros moyens ont été mis en place pour cette trentaine de jeunes gens. On y retrouve les fidèles bénévoles de l'amicale du comité communal des feux de forêts avec René Lainé, et le major Antomarchi, chef de centre de Sanary, n'est jamais bien loin. Et, bien évidemment, il y a tout l'encadrement des JSP avec notamment Jean-Louis Jacquemus, Patrick Gillet, Olivier Descamps... C'est l'occasion d'apprendre la vie en communauté, toucher du doigt cette profession particulière et se découvrir soi-même également, un vrai stage de citoyenneté.
Les jeunes sapeurs de la section 4 sont partis à 16 heures de la salle polyvalente samedi pour un stage survie, du 24h non stop d'activités, avant de rejoindre leurs camarades le dimanche soir à l'ouvrage de la Pointe... sur les rotules. Le ton était donné! Dès dimanche 16 heures, arrivée des jeunes encadrants, les deux Florian, Julien, Sébastien et Alexandra. Remise d'une enveloppe aux cinq JSP, Clément, Pauline, Vincent, Baptiste et Andreea. 35 minutes pour se retrouver à l'endroit "T", qu'ils devront découvrir à l'aide d'une carte... cachée. Exercices de repérages, manoeuvre incendie, exercices divers et variés préparés avec soin par les encadrants, marche et re-marche pour ces 24 heures intenses.
Retour prévu pour tous ces jeunes gens le 27 avril à 17 heures au centre de secours. Et inutile de dire qu'en général, les retrouvailles avec les parents sont très émouvantes.

Découverte de la première épreuve, l'inquiétude commençait à poindre.