Le 25. décembre 2012 à 17h10
Six Fours Vie de la cité Un Marché de Noël bien tristounet !
Le marché de Noël était bien triste à Six-Fours. Pas de musique, peu d’exposants, un temps maussade, une faible fréquentation. Heureusement, certains avaient joué le jeu et s’étaient donné la peine de décorer leur stand où, au moins, de mettre un chapeau.
Le marché du mardi, qui n’a pas eu lieu, avait été remplacé par un marché de Noël le lundi matin. Est-ce cela qui a empêché les clients de venir, est-ce la météo médiocre ? Toujours est-il que le marché de Noël, place des Poilus faisait peine à voir.
Les stands étaient peu nombreux et parsemés et les animations totalement absentes. C’est ce que déploraient certains exposants. « Il y a la roue et le chapiteau qui sont là et tout est fermé, aucune animation n’est là pour nous prêter main forte. Il n’y a même pas de musique » déplorait ce forain. Et de rajouter: « Hier nous étions aux Sablettes et c’était plein de monde! Il y avait de l’ambiance et les clients étaient là en nombre, alors qu’aujourd’hui… »
Certains forains avaient pourtant fait
Dans ce climat un peu morose, quelques stands étaient pourtant avenants, comme celui de cette foraine, devant l’entrée du cadastre, qui s’était donné du mal pour décorer le sien et se déguiser. Plus loin, face au bar des Sports, les deux vendeuses de fruits et légumes avaient l’esprit guilleret et le sourire lumineux, avec leurs chapeaux de Père-Noël. Juste derrière, cette dame et sa fille, vendeuses de chaussures avaient entouré de guirlandes leur barnum « C’est une tradition importante et je tiens à décorer mon stand chaque année. Dommage que tout le monde n’ait pas joué le jeu… », disait la maman.
Au centre de la place, le traiteur et le marchand de fruits, s’ils n’avaient pas fait de décoration particulière, étaient au moins parés du beau chapeau rouge à pompon blanc, signe de fête.
Près de la roue, le vendeur de foie gras avait des produits bien appétissants, mais ni lui, ni son stand, sortaient de l’ordinaire, comme certains autres, dommage…
Dans ce marché contrasté, un stand aurait plu au Père-Noël et à beaucoup d’autres. Ce marchand de prêt-à-porter et sous-vêtements féminins exposait une tenue de Mère-Noël sexy pour nous rappeler que Noël est une fête pour tous et pas seulement pour les petits…
Pas d’info, pas d’animation
Les stands étaient peu nombreux et parsemés et les animations totalement absentes. C’est ce que déploraient certains exposants. « Il y a la roue et le chapiteau qui sont là et tout est fermé, aucune animation n’est là pour nous prêter main forte. Il n’y a même pas de musique » déplorait ce forain. Et de rajouter: « Hier nous étions aux Sablettes et c’était plein de monde! Il y avait de l’ambiance et les clients étaient là en nombre, alors qu’aujourd’hui… »
Certains forains avaient pourtant fait
des efforts de décoration
Dans ce climat un peu morose, quelques stands étaient pourtant avenants, comme celui de cette foraine, devant l’entrée du cadastre, qui s’était donné du mal pour décorer le sien et se déguiser. Plus loin, face au bar des Sports, les deux vendeuses de fruits et légumes avaient l’esprit guilleret et le sourire lumineux, avec leurs chapeaux de Père-Noël. Juste derrière, cette dame et sa fille, vendeuses de chaussures avaient entouré de guirlandes leur barnum « C’est une tradition importante et je tiens à décorer mon stand chaque année. Dommage que tout le monde n’ait pas joué le jeu… », disait la maman.
Au centre de la place, le traiteur et le marchand de fruits, s’ils n’avaient pas fait de décoration particulière, étaient au moins parés du beau chapeau rouge à pompon blanc, signe de fête.
Près de la roue, le vendeur de foie gras avait des produits bien appétissants, mais ni lui, ni son stand, sortaient de l’ordinaire, comme certains autres, dommage…
Dans ce marché contrasté, un stand aurait plu au Père-Noël et à beaucoup d’autres. Ce marchand de prêt-à-porter et sous-vêtements féminins exposait une tenue de Mère-Noël sexy pour nous rappeler que Noël est une fête pour tous et pas seulement pour les petits…
HP, le 25 décembre 2012