Le 14. septembre 2014 à 17h42
Six Fours Politique Bruno Le Maire en campagne à Six-Fours
Bruno Le Maire, Ministre de l'agriculture sous la présidence Sarkozy, et candidat à la présidence de l'UMP, a fait une halte remarquée à Six-Fours, 7ème circonscription. Plus de 700 militants venus partager le pique-nique traditionnel de la rentrée politique de l'UMP organisé depuis dix ans par ses militants ont partagé au côté du député-maire Jean-Sébastien Vialatte un repas convivial ...et rassembleur.
A 11h précises, Bruno Le Maire, tenue chic mais décontractée à l'image de sa simplicité, sans service d'ordre ni tralala, a rejoint la permanence UMP de la 7ème circonscription en compagnie du député-maire Jean-Sébastien Vialatte, fier soutien de ce candidat discret, "loin des apparatchiks", mais pas moins déterminé à remettre un peu d'ordre dans ce mouvement politique mis à mal par les différentes « affaires » qui l'ont entaché et ont eu pour résultat de décontenancer les militants, pour ne pas dire démobiliser.
Heureux de partager ce moment avec les militants, il se dit très fier d'avoir le soutien du député-maire Jean-Sébastien Vialatte, « parlementaire respecté de tous et bien implanté , qui partage la même tradition gaulliste à laquelle je suis très attaché .» Il salua l'implication de tous les militants de la fédération varoise et dit ne pas avoir vu au cours de ses déplacements de campagne une telle implication et organisation.
A son tour, le député-maire Jean-Sébastien Vialatte réaffirma son soutien à Bruno Le Maire en tant que candidat à la présidence de l'UMP. : « Je le soutiens car je pense que l'UMP a vraiment besoin d'un président qui se consacre entièrement au parti, loin des échéances présidentielles. Nous avons aussi besoin d'un renouveau que Bruno Le Maire incarne bien, et je suis comme lui opposé à toute alliance avec l'UDI. Je milite entièrement pour un mouvement de droite républicaine. Dans le contexte qui est le nôtre aujourd'hui, où la confiance fait défaut, nous avons besoin d'un corpus idéologique clair au risque d'être illisibles »
Ils étaient nombreux , élus de la circonscription et militants, attentifs à son programme et ses promesses, beaucoup désappointés par les nombreux scandales de gauche et de droite et, plus près du terrain, par le sentiment que le siège parisien avait perdu le lien avec ses militants.
Bruno Le Maire affirma sa détermination à se rapprocher de la base et à les écouter : « les militants ont eu raison, on aurait dû les écouter sur les questions des 35h, sur celle des régimes spéciaux de retraite et sur l'immigration clandestine ». Il promit de renouer ce lien et d'être à l'écoute : « je veux que notre parti abîmé retrouve sa crédibilité. » Pour cela il s'affirma comme un président qui sera présent à 100%, loin des échéances présidentielles, et totalement disponible, et même sur le terrain au sein des différentes fédérations : « nous devons redonner la parole aux militants, être clairs en refusant la fusion avec l'UDI, et nous imposer en tant que droite républicaine .» Il déclara avec force et conviction la nécessité de remettre au cœur du débat des responsables politiques « dignes » : « les militants ont été volés, il faudra faire toute la transparence sur les « affaires ».
Bruno Le Maire fit alors l'inventaire de ses nouveaux objectifs : restaurer l'autorité de l’État en faisant respecter les règles, lutter contre l'immigration clandestine et les abus de droit d'asile, se protéger de l'islamisme radical en y mettant des moyens forts et en augmentant le budget de la Défense, rendre la liberté d'entreprendre aux entrepreneurs avec moins de contraintes et moins de contrôles et pour cela, réduire le nouveau code du travail à 150 pages. Le candidat se dit particulièrement soucieux de remettre l'éducation de nos enfants au cœur du débat en privilégiant l'enseignement des fondamentaux dans le primaire et en favorisant l'apprentissage et l'alternance dans le secondaire « malmenés par le gouvernement actuel . »
Convaincu, Bruno Le Maire déclara ne pas vouloir négocier ses convictions : «nous ne vivons pas une simple crise mais un effondrement économique et moral . Je veux redonner de la fierté à notre parti et la parole aux militants .» A ceux qui seraient tentés de voter FN Bruno Le Maire dit vouloir rétablir un climat de confiance avec des représentants dignes qui tiennent parole et aient un discours clair: « En tant que Ministre de l'agriculture, j'ai gagné le respect car j'ai toujours fait ce que j'ai dit et je ferai encore ce que je dis. »
Heureux de partager ce moment avec les militants, il se dit très fier d'avoir le soutien du député-maire Jean-Sébastien Vialatte, « parlementaire respecté de tous et bien implanté , qui partage la même tradition gaulliste à laquelle je suis très attaché .» Il salua l'implication de tous les militants de la fédération varoise et dit ne pas avoir vu au cours de ses déplacements de campagne une telle implication et organisation.
A son tour, le député-maire Jean-Sébastien Vialatte réaffirma son soutien à Bruno Le Maire en tant que candidat à la présidence de l'UMP. : « Je le soutiens car je pense que l'UMP a vraiment besoin d'un président qui se consacre entièrement au parti, loin des échéances présidentielles. Nous avons aussi besoin d'un renouveau que Bruno Le Maire incarne bien, et je suis comme lui opposé à toute alliance avec l'UDI. Je milite entièrement pour un mouvement de droite républicaine. Dans le contexte qui est le nôtre aujourd'hui, où la confiance fait défaut, nous avons besoin d'un corpus idéologique clair au risque d'être illisibles »
700 convives
Ils étaient nombreux , élus de la circonscription et militants, attentifs à son programme et ses promesses, beaucoup désappointés par les nombreux scandales de gauche et de droite et, plus près du terrain, par le sentiment que le siège parisien avait perdu le lien avec ses militants.
Bruno Le Maire affirma sa détermination à se rapprocher de la base et à les écouter : « les militants ont eu raison, on aurait dû les écouter sur les questions des 35h, sur celle des régimes spéciaux de retraite et sur l'immigration clandestine ». Il promit de renouer ce lien et d'être à l'écoute : « je veux que notre parti abîmé retrouve sa crédibilité. » Pour cela il s'affirma comme un président qui sera présent à 100%, loin des échéances présidentielles, et totalement disponible, et même sur le terrain au sein des différentes fédérations : « nous devons redonner la parole aux militants, être clairs en refusant la fusion avec l'UDI, et nous imposer en tant que droite républicaine .» Il déclara avec force et conviction la nécessité de remettre au cœur du débat des responsables politiques « dignes » : « les militants ont été volés, il faudra faire toute la transparence sur les « affaires ».
Le projet
Bruno Le Maire fit alors l'inventaire de ses nouveaux objectifs : restaurer l'autorité de l’État en faisant respecter les règles, lutter contre l'immigration clandestine et les abus de droit d'asile, se protéger de l'islamisme radical en y mettant des moyens forts et en augmentant le budget de la Défense, rendre la liberté d'entreprendre aux entrepreneurs avec moins de contraintes et moins de contrôles et pour cela, réduire le nouveau code du travail à 150 pages. Le candidat se dit particulièrement soucieux de remettre l'éducation de nos enfants au cœur du débat en privilégiant l'enseignement des fondamentaux dans le primaire et en favorisant l'apprentissage et l'alternance dans le secondaire « malmenés par le gouvernement actuel . »
Convaincu, Bruno Le Maire déclara ne pas vouloir négocier ses convictions : «nous ne vivons pas une simple crise mais un effondrement économique et moral . Je veux redonner de la fierté à notre parti et la parole aux militants .» A ceux qui seraient tentés de voter FN Bruno Le Maire dit vouloir rétablir un climat de confiance avec des représentants dignes qui tiennent parole et aient un discours clair: « En tant que Ministre de l'agriculture, j'ai gagné le respect car j'ai toujours fait ce que j'ai dit et je ferai encore ce que je dis. »
A.I, le 14 septembre 2014
Sfn Media Sarl, 421 avenue des Charmettes, 83140 LE BRUSC.
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